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Un dernier pour la route

Semaine du 17 juillet 2023

LES INDISCRÉTIONS

Vos 5 minutes business en Occitanie

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Sur le gril cette semaine

Nouvelle gouvernance au Carif-Oref Occitanie, La Dépêche / Midi Libre met le cap sur Le Monde Nouveau, et une nouvelle directrice territoriale d’EDF (« À l’affiche »), les apprentis mécaniciens du Lot se distinguent avec leur 2 CV électrique, baisse des levées de fonds, le stade Louis-Nicollin crée des tribunes (écrites, par réelles), et Millau, Montpellier et Sète à l’heure sud-africaine (en « Décodage »), la promotion réussie, jusqu’à Jean Castex, du manifeste sur la valeur travail (en « Zoom »), les secrets de manager de Florence Lambert à Genvia (en « Trois questions à »), votre coin immo en « Ça pousse », le bouclage acrobatique de votre journaliste préféré chez les Lyonnais (en « HV Touch », rubrique ‘On s’en fout’).  

Bonnes lecture et semaine !  

On se revoit le 21 août.  

À l'affiche

À l’affiche
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Parce qu’elles et ils le valent bien

Mercato des préfets en Occitanie Est

Nominations et mouvements dans les 4 préfectures de département du littoral d’Occitanie. Le préfet de l’Aude, Thierry Bonnier, est nommé dans les Pyrénées-Orientales, où il succèdera le 11 septembre à Rodrigue Furcy. Il sera remplacé dans l’Aude par Christian Pouget, ex-sous-préfet de Béziers.
Dans l’Hérault, Hugues Moutouh est annoncé en partance pour les Alpes-Maritimes, d’après Midi Libre de ce 17 juillet. Son successeur n’est pas connu à Montpellier.
Dans le Gard, Jérôme Bonet (sur la photo), actuel directeur central de la police judiciaire et président du conseil d’administration d’Europol, succédera le 21 août à Marie-Françoise Lecaillon. Ceinture noire de judo, féru de course à pied, il a, selon le JDD (2019) la « réputation d’être aussi à l’aise sous les lambris de la place Beauvau que sur un terrain de pétanque». Ce qui est déjà un bon point.

Stéphane Forbeau et Hamady Fofana, Appart’City 

Double nomination au sein du comité de direction d’Appart’City, leader de l’appart’hôtel en France (1.200 collaborateurs, siège social à Montpellier). Stéphane Forbeau et Hamady Fofana sont nommés respectivement aux postes de directeur des exploitations et de directeur commercial, apprend-on le 11 juillet. Appart’City est présidé par Vincent Compagnon et détient 10.300 appartements. À (re)lire dans Les Échos « Appart’hôtels : le numéro un français se remet en ordre de marche » (mars 2023)  

Hilda Flavia Nakabuye et Jules Stimpfling, Le Monde Nouveau 

Ils sont la marraine et le parrain de la 4e édition du forum de la transition environnementale et sociétale Le Monde Nouveau (La Dépêche / Midi Libre), qui se tiendra du 14 au 16 septembre à Planet Ocean à Montpellier, lit-on dans un communiqué (ici). Militante ougandaise pour les droits climatiques et environnementaux, Hilda Flavia Nakabuye a fondé le mouvement ougandais Fridays for Futures. Jules Stimpfling est cofondateur de l’entreprise Le Crayon, média de débat des jeunes, et créateur de contenus.   
Plusieurs experts ont déjà répondu présents pour ce Monde Nouveau 2023 : Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement et co-présidente du groupe n°1 du Giec (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), Charlène Descollonges, hydrologue, Perrine Bulgheroni, cofondatrice de la Ferme du Bec Hellouin, et Yannis El Amraoui, cofondateur du réseau Lycées en transitionInscription à l’événement ici.  

Dominique Lemaire, Carif-Oref Occitanie

Dominique Lemaire (Medef) est élu président du Carif-Oref* Occitanie. Vice-président : Philippe Lehericey (CFTC). Trésorier : Gérard Rolland (CGT). Secrétaire : Jean-Pierre Roger (U2P). État : Bastien Espinassous (Dreets Occitanie) et Nicolas Madiot (Région académique). Région Occitanie : Marie Castro, vice-présidente en charge de la formation professionnelle, et Marie-Thérèse Mercier, conseillère régionale, présidente de la commission formation professionnelle.  
* Centre d’animation, de ressources et d’information sur la formation, et observatoire régional de l’emploi et de la formation en Occitanie.  

Thierry Legaz, Altéral

Après 30 ans passés à Union Matériaux (négoce indépendant en matériaux de construction, Montpellier, 530 salariés, 170 M€ de CA en 2022), avec comme dernier poste celui de directeur commercial, il s’apprête à quitter l’ETI régionale pour devenir directeur du groupement Altéral en 2024. Il aura en charge l’animation des partenariats fournisseurs au niveau du groupement. « Tremblez, mes chers fournisseurs ! », sourit Alexandre Vachet, directeur général d’Union Matériaux, dans son discours prononcé lors de la soirée anniversaire des 100 ans d’Union Matériaux, le 8 juillet. 

Olivier Slusarska, groupe Agniel (Alès) et Initiative Gard

Le président du groupe Agniel (Alès), spécialisé dans les domaines de l’électricité générale, les équipements électriques, la climatisation, le chauffage et les infrastructures réseaux, est retenu comme parrain de la promotion 2023-2025 d’Initiative Gard, à l’occasion de l’assemblée générale du réseau. Il succède à Émiliano Marcos, président de la société nîmoise Ocean (propreté urbaine). « Nous avons identifié des entreprises gardoises dont la réussite économique et humaine pourrait être un exemple pour les créateurs et repreneurs d’entreprise », explique Daniel Augello, président d’Initiative Gard. Le parrain a vocation à « apporter son soutien à l’association, qu’il soit financier, matériel ou logistique, évoquer le bien-fondé d’Initiative Gard au service du développement économique, partager son expérience… », détaille Alice Jollivet, directrice d’Initiative Gard. 
Olivier Slusarska a démarré comme apprenti au sein du groupe Agniel, puis a été salarié durant 15 ans avant de finalement reprendre l’entreprise en 2009 avec le soutien d’Initiative Gard. Fondée en 1981 dans le secteur alésien avec une vingtaine de salariés, le groupe Agniel intervient dorénavant partout en France et emploie 100 collaborateurs.  
En 2022, Initiative Gard a soutenu 141 entreprises et a accompagné et financé 167 entrepreneurs. Composé de 400 bénévoles, le réseau a contribué à la création de 424 emplois. Par ailleurs, Initiative Gard a accordé 891.100 euros de prêts d’honneur, générant 17,18 millions d’euros de prêts bancaires associés.  

Anthony Belin, Ville de Lunel

Après trois ans de services, Anthony Belin quitte son poste de directeur de cabinet de la Ville de Lunel (34), pour « rupture de confiance » avec le maire, Pierre Soujol. Ce dernier, malade, est toujours le premier magistrat de la cité pescalune. Stéphane Dalle, son premier adjoint, assure l’intérim politique et fait office de directeur de cabinet et de la communication. Le directeur général des services, Vincent Lamic, reprend la coordination des services en lien avec le cabinet. « Anthony Belin a fait s’ouvrir Lunel sur l’extérieur, indique un observateur aux Indiscrétions. Le maire l’a suivi sur des campagnes de communication innovantes, comme ‘Lunel’Ose – Réouverture des maisons closes’ et ‘Métamorph’Ose – Lunel 2030’. Ce sont des communications pas faciles à initier, et qui fonctionnent aujourd’hui. »  

Isabelle Martin, EDF Occitanie

Elle succède à Virginie Monnié-Mangue (partie pour Enedis) au poste de déléguée territoriale d’EDF Occitanie Méditerranée. Elle était auparavant vice-présidente Performance et services industriels d’EDF Renouvelables.  

Christophe Audouin, Suez Sud-Ouest Méditerranée

Il prend le poste de délégué régional Sud-Ouest Méditerranée chez Suez, apprend-on dans un post LinkedIn. « C’est une extension de mes missions, qui couvraient déjà la région Occitanie, à la région Nouvelle-Aquitaine », confie l’intéressé aux Indiscrétions. Fin connaisseur du secteur de l’eau, il partage de nombreuses données pertinentes et d’actualité sur son compte LinkedIn : le portail Aquagir comme levier d’action pour les collectivités en matière de gestion de l’eau, une enveloppe de 100 M€ pour l’innovation dans le secteur de l’eau dévoilée le 13 juillet à Pessac par Bérangère Couillard, secrétaire d’État chargée de l’écologie, partage d’un article de nos confrères toulousains de Boudu sur la démarche de réutilisation des eaux usées traitées d’Eau de Toulouse Métropole… Diplômé de l’École nationale des travaux publics, Christophe Audouin a été nommé délégué régional Occitanie en juillet 2020.  

Maxence de Saint-Felix, NG Promotion

Maxence de Saint-Felix est nommé, à Toulouse, directeur régional Grand Sud-Ouest du promoteur immobilier NG Promotion (Mauguio – 34, PDG : Cédric Gonzalez). Il était auparavant directeur d’agence Midi-Pyrénées et Nouvelle-Aquitaine d’Urbat. Le capital de NG Développement (raison sociale, NG Promotion étant le nom commercial) est porté à 10 M€, avec « 2.800 lots en développement », précise Cédric Gonzalez aux Indiscrétions289 lots ont été vendus en 2022.

Pierre-André Durand, France.tv studio

Le préfet de la région Occitanie et préfet de la Haute-Garonne se rend à Vendargues, ce 20 juillet en matinée, pour visiter les studios de France Télévisions, lauréat de l’appel à projets « La grande fabrique de l’image », initié dans le cadre du plan France 2030 et lancé par le Centre national du cinéma et de l’image animée, en lien avec le Secrétariat général pour l’investissement et la Caisse des Dépôts. 11 projets (sur 38 au niveau national) retenus sont en Occitanie, « ce qui place la région en première ligne de création audio-visuelle », souligne la préfecture de région. Ces 11 projets (dont 8 à Montpellier : studios de tournages de films comme Pics Studio, studios numériques, projets de formation) bénéficieront d’un soutien de l’État à hauteur de 51 M€. Projets à Toulouse : un studio numérique pour Tat Studio (film d’animation) et un projet de formation, le D.E.F.I.P. (cinéma et audiovisuel dans les quartiers Politique de la Ville). 

Stéphane Aventurier, Pierrick Belen, La Lettre M / Axiome Associés

13 auditeurs d’Axiome Associés (cabinet d’expertise-comptable, audit, paie, juridique…, président : Pierrick Belen, à droite sur la photo) défendent à l’oral, le 12 juillet à Montpellier, les entreprises candidates aux Masters de La Lettre M (presse économique régionale, gérant : Stéphane Aventurier), après une étude de leur dossier et une rencontre avec les dirigeants. « Un exercice mettant en avant leur sens critique allié à des capacités d’observation, d’analyse et de synthèse », explique Axiome Associés, coorganisateur des Masters avec La Lettre M.  
Quand les anciens copains (car, je confirme, je ne suis plus à La Lettre M, bien que certains m’y croient encore) ont une bonne idée, il faut le dire. Plus d’info en cliquant ici
> Les Masters de La Lettre M auront lieu le 26 septembre au Pasino de La Grande-Motte, en début de soirée. 

Cédric O’Neill, Bricks.co

La proptech Bricks.co (immobilier fractionné, pour investir des petites sommes dans des projets immobiliers) obtient l’agrément PSFP (prestataire de services de financement participatif) auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Une étape réglementaire décisive, d’après Cédric O’Neill, fondateur de Bricks.co : « Nous avons été contraints de stopper l’activité pendant 8 mois afin d’obtenir cet agrément nous permettant de continuer notre activité de manière régulée. Après notre levée de fonds de 13 M€ réalisée en 2022, l’AMF a en effet pris position pour considérer les contrats de royalties comme étant des titres financiers », explique-t-il sur LinkedIn. Le 23 décembre dernier, l’AMF a mis en garde le grand public contre certaines plateformes proposant d’investir dans l’immobilier sous forme de royalties ou partage de revenus futurs Plus à lire en cliquant ici (post de Cédric O’Neill) et là (article des Échos, « Immobilier : faut-il se méfier des plateformes à haut rendement ? »).

Jean-Pierre Baud, Saint-Aunès (34)

Décès, le 13 juillet, du premier adjoint au maire de Saint-Aunès, à l’âge de 68 ans. La cérémonie religieuse sera célébrée ce mardi 18 juillet à 15h30, dans l’église de Saint-Aunès, commune membre du Pays de l’Or Agglomération. Maire de Saint-Aunès : Alain Hugues.

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Décodage

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On perce le coffre-fort

Les apprentis mécaniciens d’Occitanie distingués pour leur projet de 2 CV électrique

Les apprentis mécaniciens d’Occitanie à l’honneur. Les apprentis mécaniciens en 2e année de CAP de l’École des Métiers du Lot remportent le prix du jury des professionnels lors de la ‘Battle’ (bataille) nationale des CFA, avec leur projet écoresponsable de 2 CV électrique grâce au procédé du Rétrofit. « Recherche du véhicule, démontage intégral, changement des pièces défectueuses, rénovation de la carrosserie avec le soutien des carrossiers du CFA, recyclage des pièces usagées, préparation finale du véhicule jusqu’à l’installation du moteur électrique par un des deux seuls garagistes agréés en France : à chaque étape du projet, les apprentis mécaniciens ont montré leurs connaissances et savoir-faire métier, en faisant preuve de solidarité et d’esprit d’équipe », indique la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Occitanie.  
Plus à lire en cliquant ici  

Nereus (filtration dynamique de l’eau) : JO et levée de fonds. L’entreprise héraultaise Nereus, spécialisée dans la filtration dynamique de l’eau, est sélectionnée par Solideo pour une double mission dans le village des Jeux Olympiques de Paris 2024. « D’une part, nous allons équiper l’un des bâtiments du village des athlètes, le bâtiment Cycle, d’un système de recyclage d’eau. Et, d’autre part, nous allons extraire des eaux usées la quantité d’eau nécessaire pour arroser la végétation installée en vue de rafraîchir l’ilot de chaleur urbain »déclare Emmanuel Trouvé, fondateur de Nereus.
Pour réutiliser les eaux usées traitées, Nereus, fondée en 2013 et basée au Pouget, utilise une technologie brevetée de nanofiltration à l’aide de membranes disques céramiques. « Ce disque retient tout ce que nous ne voulons pas dans l’eau, y compris le coronavirus puisque les pores du disque font quelques nanomètres, alors que le coronavirus, même sous sa plus petite forme, fait au moins 60 nanomètres », rassure Emmanuel Trouvé. Par ailleurs, « il faut aussi penser au-delà des JO », glisse-t-il. « Les bâtiments qui accueilleront les athlètes deviendront ensuite des habitations. Nous continuerons de produire de l’eau recyclée même après Paris 2024 sur ce même lieu. » 
Nereus entend lever « 15 M€ d’ici septembre pour réaliser [ses] projets de croissance », annonce Nadège Da Ponte Corp, directrice adjointe de Nereus.  
Plus à lire dans ToulÉco, en cliquant ici  

RSE en grand à Toulouse. Congrès international de la RSE, du 18 au 20 octobre à Toulouse. Le programme est construit par le comité scientifique de la Fondation Oïkos. Plus d’infos en cliquant ici  

La presse recrute (si si). La presse dégraisse un peu partout. Demandez à la rédaction du JDD, avec la reprise par Bolloré et l’arrivée de Geoffroy Lejeune. Mais la presse embauche aussi. La rédaction de Midi Libre (Groupe Dépêche du Midi) recrute ainsi un responsable du Pôle News, basé au siège à Saint-Jean-de-Védas (34). Rattaché à la direction de la rédaction (Olivier Biscaye), l’heureux.se élu.e animera une équipe d’une quinzaine de journalistes. Il s’agira aussi « d’assurer une veille technologique pour proposer des formats web innovants, puis en mesurer la performance ». Candidatures à adresser à mmrhjob@midilibre.com. Annonce complète en cliquant ici.  
De son côté, et toutes proportions gardées, Agencehv, frêle esquif de 3 salariés, recherche une collaboration régulière avec un.e journaliste économique pigiste, basé.e à Toulouse ou Montpellier, dans le cadre de la structuration de son pôle presse. Plus d’infos en cliquant ici  

Baisse des montants levés en Occitanie

Au 1er semestre 2023, 19 opérations de levées de fonds ont été réalisées, tout comme au 1er semestre 2022, indique In Extenso Innovation Croissance, Essec Business School et France Angels dans leur baromètre des levées de fonds. « En revanche, le ticket moyen (6,6 M€) a baissé de -16 %, ce qui a fait reculer le total des montants levés de 150 M€ au S1 2022 à 126,2 M€ au S1 2023 », souligne le baromètre. Une baisse relativement faible : au cours du 1er semestre 2023, les levées de fonds ont reculé de 50 % en France et 48 % en Europe par rapport aux montants records enregistrés au 1er semestre 2022. 
82 M€ ont été levés en Haute-Garonne représentant 9 opérations, 33 M€ dans l’Hérault (8 opérations) et 11 M€ dans le Gard (2 opérations). Top 5 des levées de fonds en Occitanie au 1er semestre : Ascendance Flight Technologies avec 21 M€, EyeLights (20 M€), Pili (14,36 M€), Bulane (14 M€) et LookUp Space (14 M€). Les secteurs de la santé et de la deeptech sont particulièrement dynamiques (+ 67 % et + 49 % des financements reçus par rapport au S1 2022).  
L’Occitanie se classe en 5e position en termes de montants levés au 1er semestre 2023, derrière l’Île-de-France, Aura, Paca et Nouvelle-Aquitaine.    

Piom : ça circule mal. L’association des entreprises implantées dans le Parc Industries Or Méditerranée (Piom, Mauguio – 34) demande la création d’une nouvelle sortie de la zone d’activités économiques. « Il n’y a qu’une seule sortie à ce jour, ce qui crée de gros bouchons aux heures de pointe », relève un proche du dossier.  

L’Occitanie Rail Tour lauréat des Trophées de l’Innovation du Tourisme. Le pass ferroviaire « Occitanie Rail Tour » (ORT), élaboré par le Comité régional du tourisme et des loisirs (CRTL, directeur : Jean Pinard), est lauréat dans la catégorie « Transports » de la 10e édition des Trophées de l’Innovation du Tourisme, apprend-on dans un communiqué du 11 juillet. Le pass ORT vise à permettre au plus grand nombre d’accéder aux vacances et aux loisirs avec un tarif fixé à 10€/jour/personne. « Depuis son lancement en mai, plus de 5.200 journées train ont été vendues grâce au pass ORT », précise Vincent Garel, président du CRTL. Les votes du jury, composé de 11 experts de la filière tourisme français, se sont additionnés à ceux des internautes.   
Organisé par L’Écho Touristique à Paris le 5 juillet, le concours a récompensé 8 autres lauréats dans les catégories France, Distribution, Hébergement, Nouvelles technologies, Tourisme responsable, Production, Start-up et Start-up pépite d’incubateur.  
> Plus à lire : « L’Occitanie mise sur le train à prix cassé pour l’été », juillet 2022, pour Les Échos, en cliquant ici 

Le CHU de Nîmes se dote d’un nouveau bâtiment pour 22 M€. Le CHU de Nîmes (directeur : Nicolas Best) et Eiffage Construction LR (directeur : Nicolas Faure) signent le 11 juillet un marché pour l’extension du CHU Carémeau comprenant la réalisation d’un bâtiment de 3.100 m², dédié à l’endoscopie, la chirurgie ambulatoire et la chirurgie en cabinet, lit-on dans un communiqué. Montant des travaux : 22 M€, co-financé par le Fonds Européen de développement régional et la Région Occitanie. L’établissement accueillera 30 places d’hospitalisation de jour (10 pour l’endoscopies et 20 pour le centre ambulatoire), deux salles pour le centre ambulatoire et quatre pour l’endoscopie. Complétant l’offre du centre ambulatoire Carémeau Sud, inauguré en 2019, le projet vise à « fluidifier le parcours du patient et développer la médecine ambulatoire », explique Nicolas Best.  
> Plus à lire : CHU de Nîmes : un nouveau bâtiment pour 57 M€, Les Échos, en cliquant ici  

Circulez. La rocade ouest de Mende (3 km) RN 1088 est inaugurée ce 14 juillet, après cinq ans de travaux. Nom de cet axe routier : Alain Bertrand, en hommage à l’ancien sénateur-maire de la ville, décédé en 2020. Coût de l’infrastructure : 30 M€. Financeurs : État (pour moitié), Région Occitanie, Département de la Lozère, Ville de Mende.  

Centre de tri. Le Sitom Sud Gard lance un avis d’appel public à la concurrence pour l’assistance à maîtrise d’ouvrage en vue du renouvellement du contrat d’exploitation du centre de tri Valréna à Nîmes. Date limite de réponse : 11 septembre. Plus d’informations en cliquant ici

Vélo. Le chemin de halage entre La Grande-Motte et Palavas, environ 10 km le long du canal de Rhône à Sète, va être officiellement ouvert aux vélos, après 8 années de tractations entre les élus locaux et Voies Navigables de France. « Cette voie est certes déjà utilisée par les cyclistes, mais ils sont passibles d’une amende, et nous ne pouvons pas la vendre dans l’offre touristique », précise un élu de Mauguio-Carnon. Une convention de superposition de gestion va être prochainement signée entre VNF et Stéphan Rossignol, président du Pays de l’Or.  

Réalmont (81) : appel à projets pour un hôtel-restaurant. La Ville de Réalmont lance un appel à projets portant sur le « renouveau de l’hôtel-restaurant Mont Royal », dans le cadre du programme Petites villes de demain. Plus d’informations en cliquant ici

Des tribunes (politiques) pour le stade Louis-Nicollin. À défaut de tribunes réelles, des tribunes politiques. Les difficultés de financement du projet de stade Louis-Nicollin (MHSC), à Pérols (34), liées au retrait de la Banque des Territoires, redonnent la parole à des élus montpelliérains d’ordinaire très discrets. Pour l’ancien maire de Montpellier Philippe Saurel, la solution, c’est une implantation à Cambacérès (lire en cliquant ici).  
Pour l’écologiste Coralie Mantion, élue en 2020 sur la liste de Michaël Delafosse (maire de Montpellier) et vice-présidente de la métropole déléguée à l’aménagement durable du territoire, urbanisme opérationnel et maîtrise foncière, la bonne option est de garder le stade actuel de La Mosson. « Laurent Nicollin, restez Pailladin ! » (ça rime), lance-t-elle sur son Facebook. « Sans provocation, je suis à votre disposition pour vous présenter le projet de la ZAC Sud Mosson. Un projet de greffe urbaine, au sud de la Paillade, qui peut être pensé autour du sport de haut niveau avec un stade restructuré (budget évalué en 2014 : 50 M€), une piscine Neptune rénovée, des terrains de tennis réaménagés, un grand cours paysagé, de la station de tramway au stade, qui peut s’animer les jours de match, de multiples bâtiments neufs qui peuvent répondre au besoin des divers acteurs du sport et de la santé », détaille-t-elle. Pas vraiment sympa pour Delafosse, qui avait inscrit l’implantation du stade Louis-Nicollin, sur un foncier situé entre Carrefour Lattes et Auchan Pérols, dans sa campagne de 2020.  

Union Matériaux : 100 ans d’entrepreneuriat familial, régional et indépendant
 

Un centenaire qui se fête, avec, au total, 6.000 partenaires, clients, fournisseurs, salariés etc, à travers diverses manifestations disséminées tout au long de l’année.  
En 100 ans, Union Matériaux (UM) a toujours su innover, dans le monde bagarré des négociants de matériaux de construction. Avec, à chacune des trois générations, ses propres défis. « Malgré la crise Covid puis l’inflation, UM a récemment rénové des agences, créé à Lunel une base logistique dédiée à la menuiserie extérieure préfabriquée, renforcé ses spécialisations, par exemple dans l’aménagement extérieur, le bricolage, le carrelage ou la salle de bains… », observe Cyril Biscaross, gestionnaire achat pour la partie menuiserie à UM Béziers Sud, et élu au CSE.  
Retour aux sources. En 1922, Jean Vachet, tailleur de pierre dans le centre de la France, quitte Buxy (Saône-et-Loire), suite à un différend avec son père, pour créer Union Matériaux à Montpellier. « Cela sonnait mieux que ‘Vachet Matériaux’, sourit Alexandre Vachet, 45 ans, PDG depuis 2008, incarnant la 3e génération. À l’époque, beaucoup de distributeurs de matériaux, centenaires comme nous, se sont créés : Chausson Matériaux, Tanguy Matériaux, Costamagna… » Après la guerre, lors d’un voyage aux États-Unis, Jean Vachet s’aperçoit que les menuiseries y sont préfabriquées, contrairement au marché français. Or, les besoins de construction sont immenses à ce moment-là. Il importe donc le concept, en créant Les Menuiseries Françaises, première entreprise à préfabriquer les menuiseries, avec livraison sur le chantier et montage. L’entreprise prospère, et devient même à l’époque plus importante qu’UM. Les Menuiseries Françaises sont vendues à Saint-Gobain, et son fils, Pierre Vachet, prend la suite d’UM, sans y avoir été préparé.  

Obsession de la rentabilité. Pierre Vachet, juriste de formation, veut solidifier les bases d’UM. D’autant plus qu’au début des années 70, l’économie européenne est enlisée dans les chocs pétroliers, l’inflation et le ralentissement. « Deux priorités sont données : s’entourer de cadres de qualité, et se concentrer non pas sur la croissance, mais sur la rentabilité, pour assurer la solidité de l’entreprise familiale. Cette stratégie permet d’avoir une situation financière stable, de ne pas céder aux sirènes du court-termisme. On opère des ajustements, mais on n’a pas de coups de barre. C’est très important dans la manière de piloter, et dans la relation aux autres », explique Alexandre Vachet.  
Autre apport de Pierre Vachet : l’importation, depuis l’Italie, des salles d’exposition. Alexandre Vachet poussera le concept avec la création, en 2016 à Pérols, de Volum, concept store pour l’aménagement intérieur.  

Lettre de motivation. Au début des années 2000, Pierre Vachet prépare son fils à une éventuelle reprise. « Il m’a même demandé une lettre de motivation, détaille Alexandre Vachet. J’ai mis un temps infini pour la rédiger. Elle faisait huit pages ! » Il décrit notamment l’importance de bénéficier d’un parcours d’intégration, et de passer du temps sur le terrain. « Nous exerçons un métier d’autodidacte, où l’humain prime. Sans cette légitimité née du terrain, on ne peut pas devenir dirigeant », confie-t-il. Avant sa prise de fonctions, en 2008, à 29 ans, il occupe pendant 7 ans différentes fonctions : commercial, directeur d’agence…. Son arrivée aux manettes coïncide avec la crise financière mondiale. L’activité baisse de 20 %… Mais les concurrents souffrent aussi. UM en profite pour mettre la main sur son concurrent historique, Gervais Matériaux. « C’est une cible dont nous rêvions depuis longtemps. Ils avaient notre taille : 16 points de vente entre Montpellier et Marseille et 70 millions d’euros de chiffre d’affaires pour eux, 17 points de vente entre Perpignan et Lunel et 85 millions pour nous », compare le dirigeant. L’opération permet à UM d’atteindre une taille critique vis-à-vis de ses fournisseurs et clients, et de les suivre sur un nombre croissant de chantiers. La logistique monte en puissance, avec la création d’une première base à Vendargues, à côté de Montpellier, pour livrer les produits de second œuvre en deux jours.  

Et demain ? Union Matériaux, membre depuis 2015 du groupement Altéral, lance plusieurs chantiers : plan de formation des collaborateurs (veille, nouveaux systèmes constructifs, organisation du travail…), transformation digitale, en simplifiant notamment les process de commandes et d’achats, et intégration des nouveaux enjeux de l’acte de bâtir - bas carbone, réemploi, nouvelles technologies… La start-up Kloovis est ainsi une nouvelle place de marché pour les matériaux de seconde main, favorisant le réemploi.  
Un nouveau siège social verra le jour en 2027 à Lattes, à côté de la gare TGV Sud de France de Montpellier, en façade autoroutière, au sud de la métropole de Montpellier. Dessiné par A+ Architecture et représentant un investissement de 15 millions d’euros, le site intègrera de nouveaux services pour les clients : transformation de produits, fabrication, façonnage, pièces spéciales, pose…  
L’entreprise, détenue à 100 % par Alexandre Vachet et son père, emploie 530 salariés dans 36 agences, pour un chiffre d’affaires 2022 de 170 M€. Le distributeur prête à ses artisans, avec environ 30 M€ bloqués à cet effet. « Notre trésorerie porte le métier, plutôt que de rémunérer des actionnaires », glisse-t-il. Pour structurer les actions de mécénat du groupe, dans le sport, la culture ou le logement, une fondation sera créée en 2024.  

Médiprix : une levée de fonds, pour quoi faire ?  On vous l’a déjà dit : Médiprix, spécialiste des solutions digitales e-santé à destination des pharmacies, lève 16 millions d’euros, par augmentation de capital, auprès de Pépites&Territoires by AXA et NextStage AM. Pourquoi faire, au juste ? L’opération, une première pour Médiprix, va financer plusieurs axes de développement : laboratoire en marque propre, installation de pharmaciens, foncière immobilière pour aider aux projets de transferts, création d’une filiale en Espagne, service de centralisation des paiements pour simplifier la gestion des pharmaciens, recours à l’intelligence artificielle pour gagner en productivité et améliorer les conseils… Concrètement, Médiprix est une plateforme qui entend faire gagner du temps aux pharmaciens, par exemple en automatisant leurs relations clients via les réseaux sociaux ou les e-mails marketing, ou en gérant les salariés. Des dispositifs de collecte des emballages sont aussi proposés aux 220 pharmacies constituant le réseau. Ce dernier grossit au rythme de 30 nouvelles pharmacies par an. Médiprix développe ses propres produits, en co-création avec les pharmacies, et dispense des formations relatives à la prise en charge des patients.  
« Les autres solutions existantes sur le marché ne sont pas interconnectées entre elles, et rarement automatisées, ce qui oblige les pharmaciens à se connecter sur plusieurs plateformes développées par des tiers », explique Bertrand Pagès, cofondateur avec Jérôme Escojido de Médiprix, en 2016.  
Basée à Montpellier, la PME emploie une quinzaine de personnes, dont 7 pour le pôle digital, et recrute des profils développeurs informatique, un chef de produit et une force commerciale en Espagne. En incluant l’activité de MediLab, laboratoire détenue par Médiprix et ses adhérents, le chiffre d’affaires s’élève à 10 millions d’euros. Le laboratoire commercialise près de 250 références : aromathérapie, phytothérapie, compléments alimentaires, solutions pour l’incontinence…  
Plus à lire prochainement dans Les Échos 

Saint-Bauzille-de-Montmel (34) : consultation d’architectes dans le cadre du projet d’agrandissement et restructuration du groupe scolaire. Date limite de dépôt des candidatures : 26 juillet. Plus d’infos en cliquant ici

Lycée. Les communes de Mauguio et Vendargues ont déposé un dossier pour accueillir à terme un lycée dans l’est de la métropole de Montpellier, apprend-on de source proche. 

Des trains à batterie sur l’axe ferroviaire Nîmes-Le Grau du Roi
 

Le maintien de la liaison ferroviaire entre Nîmes et Le Grau-du-Roi, port de pêche et station du littoral gardois, « n’était pas acquis. Il s’agit d’une ligne obsolète, non électrifiée, où les trains roulent en moyenne à 60 km/h », décrit, sans concession, Nicolas Duvic, chargé de missions Planification et mobilité à l’Agence d’urbanisme de la région nîmoise et alésienne (A’U).  
L’axe est désormais identifié, à la fois pour ses zones d’emploi (92.500 emplois, avec trois des dix plus gros employeurs gardois), son poids démographique (143.500 habitants dans un rayon de 2 km autour des gares) et la fréquentation touristique estivale, où la population est multipliée par dix.  

Jean-Luc Gibelin, vice-président de la Région Occitanie délégué aux mobilités et infrastructures de transports, a ainsi confirmé, le 26 juin, son intention de renforcer petit à petit cette liaison. Celle-ci est pour l’instant modeste, avec une moyenne, hors été, de 470 voyageurs et 5 trains par jour et, en haute saison, de 10 trains par jour et 2.500 voyageurs par jour. Deux trains à batterie y seront ajoutés, « en vue de favoriser le train au quotidien, de décarboner les mobilités et de s’inscrire dans une démarche d’innovation et d’expérimentation », indique l’élu. « C’est en expérimentant, en y allant pas à pas, que les choses évolueront », se félicite Nicolas Duvic.  

Trois intercommunalités veulent développer leurs quartiers-gares. Nîmes Métropole, Petite Camargue et Terre de Camargue : ces trois intercommunalités traversées par la liaison ont construit un « projet d’axe », sous la houlette de l’A’U. L’idée étant de développer des projets urbains et d’équipements structurants à proximité des nombreuses gares jalonnant les 45 km de trajet : Saint-Césaire, Générac, Beauvoisin, Vauvert, Le Cailar, Aimargues, Saint-Laurent-d’Aigouze, Aigues-Mortes et Le Grau-du-Roi. Le Scot Sud Gard, présidé par Frédéric Touzellier, prévoit ainsi plusieurs projets d’habitat : écoquartier Méditerranéen au Grau-du-Roi (500 logements), Zac des Grenouilles à Saint-Laurent-d’Aigouze (405 logements), Quartier Madame à Aimargues (230 logements), Le Nouvel Aure à Vauvert (185 logements)…  
La ligne dessert aussi, sur sa partie nord, des projets économiques : Marché Gare, Nîmes Sud (centre pénitentiaire et zone d’activité économique), extension de la zone d’activités Costières et extension de Royal Canin.  
Le temps de trajet (50 mn) est compétitif par rapport à la voiture (environ 1 heure). Et le potentiel de croissance est important : le long de la ligne, seulement 1 % des trajets domicile-travail s’effectuent en transports collectifs, pointe A’U dans une étude de 2021.  

7 entrepreneurs rejoignent Réseau Entreprendre Occitanie Garonne. Réseau Entreprendre Occitanie Garonne accueille 7 nouveaux entrepreneurs pour les mois de mai et juin, lit-on dans un communiqué du 13 juillet. Ces derniers bénéficieront d’un accompagnement de 2 ans auprès de chefs d’entreprises et bénévoles du réseau, présidé par Christophe Nobilet.
Sont retenus dans le cadre du programme « Start » Philippe Alves et Alexis Dejean fondateurs de Philexis (bureau d’étude d’ingénierie ; Montauban), et Rémi Bréal et Bastien Porcher Labreuille, fondateurs de la Laiterie Blanca (fabrication de mozzarelle, burrata, ricotta et scamorza ; Toulouse). Les 3 autres lauréats, Sylvain Cambon et Jennifer Bardy, codirigeants de Challenge recrutement (cabinet de recrutement indépendant ; Toulouse), ainsi qu’Alexandre Issac, dirigeant de The Repair Academy (formation à la réparation de carte-mère ; Toulouse), intègrent le programme « Booster ». Depuis sa création en 2001, Réseau Entreprendre Occitanie Garonne a accompagné 452 entrepreneurs et a accordé 6,7 M€ de prêts d’honneur. 3.800 emplois ont été créés ou sauvegardés.

Deux toulousains lauréats des Grand Prix I-PhD. Sur 10 Grands Prix décernés lors de la 4e édition du concours d’innovation I-Phd, le 4 juillet à Paris, deux d’entre eux récompenses des Toulousains, lit-on dans un communiqué du gouvernement.
Nina Gazal, doctorante à l’UT3 Paul Sabatier, est distinguée pour son projet Mycelium Concept, visant à commercialiser de nouveaux matériaux composites à base de fibres végétales (déchet issus des systèmes agricoles) en utilisant le mycélium comme liant naturel. Le projet est une alternative recyclable et biodégradable au polystyrène.
Oleksandr Hryhorovych Ivanchenko, également doctorant à l’UT3 Paul Sabatier, est récompensé pour son projet TLT, consistant en la création de polymères radicalaires dégradables, recyclables ou réutilisables. Les deux lauréats vont entre autres bénéficier d’un an d’accompagnement et de coaching pour accélérer leurs projets, développer leurs réseaux et consolider leurs postures entrepreneuriales et d’une bourse French Tech de 30 k€ (sous réserve d’instruction favorable du dossier). Le jury était composé d’investisseurs et entrepreneurs, présidé par Jérôme Bibette, professeur et directeur de l’institut Chimie Biologie Innovation à l’ESPCI Paris.
Hors Grands Prix, quatre autres projets occitans sont lauréats du concours I-PhD : METATherapeutix, porté par Nathan Aloïs Aimé Allain Guiraud (lutte contre les mécanismes de rechute des patients atteint de leucémies aiguës myéloïdes) ; MéthAlgues, porté par Louis Xavier Philippe Cornette De Saint-Cyr (valoriser une nouvelle famille de molécules pour avoir des effets majeurs sur des souches antibiorésistantes avec une toxicité réduite sur des cellules humaines) ; Tacita Dynamics, porté par Bastien Cadiou (amortissement de vibrations) ; Theralan (traitement des cancers).

Redressement judiciaire pour la foncière Thierry Oldak. Le groupe immobilier toulousain Thierry Oldak est placé en redressement judiciaire, apprend-on sur La Dépêche le 11 juillet dernier. La société a été mise en redressement le 6 juillet par le tribunal de commerce de Toulouse pour une période d’observation de 6 mois selon La Tribune. Le groupe a déjà perdu l’exploitation de la brasserie gastronomique le Bibent (place du Capitole, Toulouse) depuis fin janvier à cause d’une dette de 2,5 M€ (réévaluée à 2,8 M€), qui a généré une action de saisie des créanciers. Le fonds de commerce du Bibent est évalué par KPMG entre 1,2 et 1,7 M€. La société toulousaine a été créé en 1999 et reste spécialisée dans la mise en location de murs commerciaux à destination de grandes enseignes à Toulouse et dans d’autres villes. Elle gère selon La Dépêche de février dernier plus de 88.400 m2 de commerces à Toulouse et perçoit plus de 8 M€ de loyers par an.

Millau, Montpellier, Sète : terres d’entraînement pour les athlètes sud-africains

 

Le 13 juillet, un accord de partenariat est signé entre l’Entente Millau, Montpellier, Sète et le Comité Olympique et Sportif d’Afrique du Sud pour les disciplines suivantes : escalade et VTT à Millau, athlétisme, natation, rugby à VII, judo, lutte, tennis-fauteuil et football féminin (en cas de qualification) à Montpellier, et triathlon à Sète, apprend-on dans un communiqué. Ainsi, les villes de Millau, Montpellier et Sète seront des points d’entraînement stratégiques pour les athlètes sud-africains dans ces disciplines.  

À Montpellier, 12 équipements sportifs ont été reconnus Centre de préparation aux Jeux (CPJ) 2024. Du côté de Sète, l’agglomération est notamment reconnue pour son offre aquatique avec le centre balnéaire Raoul Fonquerne, labellisé CPJ 2024 pour 6 disciplines (voile, natation, water-polo, natation artistique, triathlon, para natation). Sète Agglopôle Méditerranée accueillera les triathlètes sud-africains et l’équipe de judo du Kazakhstan. Enfin, « Millau la sportive » se démarque avec près de 400 voies naturelles et une salle artificielle d’escalade, et avec les Causses qui offrent des dénivelés intéressants, entre autres pour les descentes en VTT.  

Transport : les Régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine unissent leurs forces. Le 10 juillet, les Régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine créent la Société publique interrégionale pour les investissements dans les transports (lire ici). Alors que les deux collectivités viennent de s’engager dans la reprise de propriété de leur matériel roulant, l’objectif de cette société commune est d’optimiser les coûts et mutualiser les moyens d’ingénierie. « Nous financions déjà à 100 % l’achat de rames et leur entretien, sans pour autant avoir la main sur le choix des prestataires ou les calendriers. En mutualisant les moyens entre nos deux Régions, nous pourrons également optimiser les coûts et rationnaliser nos investissements pour des trains plus modernes, plus confortables et de plus grande capacité », explique Carole Delga, présidente PS de la Région Occitanie. La présidence est tenue par Renaud Lagrave (vice-président de Région Nouvelle-Aquitaine), avec à ses côtés Jean-Luc Gibelin (vice-président de la Région Occitanie) à la vice-présidence et Cécile Bichon (adjointe au DGA du pôle transports de la Région Nouvelles-Aquitaine) à la direction générale.   

Une plateforme informatique pour sensibiliser à la lagune. Le Rol (Réseau d’observation lagunaire) lance sa plateforme informatique capable de renseigner les acteurs du territoire sur la lagune, annonce le Syndicat Mixte du Bassin de Thau dans un communiqué du 13 juillet. Biodiversité, productions en élevage, apports en eau, qualité du milieu, réalisations d’études et d’expérimentations… La plateforme centralise des données provenant principalement de recherches scientifiques et techniques.  
Afin d’accroître les connaissances lagunaires nécessaires à la bonne compréhension de l’écosystème et aux éventuelles mesures de gestion des acteurs du territoire, la plateforme propose divers services : appui à la gestion intégrée du territoire ; restitution sous forme de tableaux de bord d’informations sur l’environnement ; accès gestionnaire et propriétaire à la donnée avec des droits d’accès et des services plus détaillés à la demande…  

Le bureau d’études gardois Fadilec généreux avec ses salariés. Attribution d’une prime, semaine de 4,5 jours, versement d’une part du bénéfice de l’entreprise aux salariés… Le groupe Fadilec, bureau d’études en ingénierie et intégration de systèmes et processus industriels dont le siège se situe à Laudun-L’Ardoise (Gard), redouble d’efforts pour attirer des talents et fidéliser ses 55 collaborateurs, répartis sur les sites de Laudun-L’Ardoise (35 salariés) et Vénissieux (Rhône-Alpes). Pour cela, le bureau d’études annonce verser une prime de 3.000 € à chacun de ses collaborateurs, quel que soit son poste et ses responsabilités, lit-on dans les colonnes de Midi Libre ce 17 juillet (ici). Est également instauré la semaine de 4,5 jours avec un week-end qui débute le vendredi midi, et le versement d’une part des bénéfices de l’entreprise aux salariés selon les résultats. Fadilec entend recruter 5 à 6 collaborateurs par an. Par ailleurs, le groupe prévoit de doubler la superficie des locaux de son site de Laudun-L’Ardoise. Plus à lire prochainement dans Les Échos.  

La Région investit pour pérenniser le réseau ferroviaire  

La Région Occitanie annonce plusieurs projets et investissements pour pérenniser le réseau ferroviaire régional, apprend-on d’un communiqué du 7 juillet résumant un rapport de la Commission permanente. « Sur le front des mobilités, de l’emploi et de l’aménagement des territoires, notre cap est clair : nous misons sur le ferroviaire », indique Carole Delga, présidente PS de la Région Occitanie. Décryptage des investissements à venir.   

La ligne Alès-Bessèges transférée à la Région. Après celle de Montréjeau-Luchon, la Région Occitanie reprend la gestion de la ligne Alès-Bessèges, fermée depuis 2012 pour cause de sécurité et besoin d’investissement. Avec la volonté de rouvrir cette ligne, la Région entend réaliser les études et travaux nécessaires, pour 67 M€. Ceux-ci débuteront en 2026 pour une ouverture de la ligne en 2028. Le dossier est suivi de près par Jean-Luc Gibelin, vice-président de la Région Occitanie délégué aux mobilités pour tous et infrastructures de transport, et lui-même cévenol. Le projet prévoit 7 allers-retours quotidiens. Longue de 31 kilomètres, la ligne comptera 12 passages à niveau et 9 haltes : Alès, Alès-Lycées, Salindres, Saint-Julien-Les-Fumades, Saint-Ambroix, Molières-sur-Cèze, Gammal, Robiac-Rochessadoule, Bessèges. 

22 M€ pour le Plan Rail. Adopté il y a 3 ans par la Région Occitanie et la SNCF, le Plan Rail prend forme aujourd’hui avec des études et travaux annoncés par la Région pour 2026 pour un coût total de 22 M€. Les lignes concernées sont Saint-Césaire – Le Grau-du-Roi (5,1 M€ par la Région sur 7,7 M€), Perpignan – Villefranche-Vernet-les-Bains (3,1 M€ sur 4,7 M€), le Train Jaune (8,1 M€ sur 8,8 M€), et les lignes dites du quart Nord Est toulousain (5,6 M€ sur 8,5 M€).  

Rénovation et acquisition des rames des trains régionaux. 540 M€ d’investissements destinés à la rénovation et l’acquisition de rames sont prévus par la Région sur la période 2023-2032. Dans le cadre de la dernière convention avec la SCNF en 2023, elle engage à ce jour 97 M€ pour l’acquisition de 22 rames supplémentaires. Avec 83 rames actuellement, la Région prévoit des travaux de rénovation débutant en 2024 et s’achevant en 2027.   

Un futur centre de maintenance à Narbonne. En anticipation de cette augmentation de rames en circulation sur le parc régional, la Région prévoit la création d’un centre de maintenance et de remisage à Narbonne. Un emplacement stratégique, au croisement des axes de Toulouse, Nîmes et Perpignan. Il permettra de réduire le temps d’acheminement des rames nécessitant une maintenance. 400 k€ sont engagés à ce jour pour des études préliminaires, menées sur la période 2023-2024. La livraison est prévue à horizon 2027 et impliquera la création de 30 emplois.   

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Une info passée au crible

Feria du Medef : valeur travail, tauromachie et drones  

 C’est aux confins de l’Hérault et de l’Aude que la Feria du Medef s’est déroulée le 12 juillet à la Manade Margé à Fleury (34). Organisée par le Medef Béziers Littoral Ouest Hérault, elle a réuni une centaine d’adhérents locaux et régionaux. Démonstration d’Instadrone, tienta (essai, en tauromachie), signature d’un partenariat avec l’armée, et une table ronde sur la Valeur travail ont rythmé la soirée. Retour sur ces échanges et faits marquants de la soirée.   

Légende : De gauche à droite : Sarah Nguyen Cao Khuong (Agencehv), Jean-François Lascoux (Dale Carnegie Sud-Ouest), Emmanuel Lelièvre (Centrakor, Medef Lot), Romain Planès (Caminarem) et Michel Roy (Conseil de Prud’hommes Béziers) ©Agencehv

 

Valeur travail. Ayant pour support le manifeste co-rédigé par Matthieu Ourliac, président du Medef Béziers et du groupe Caminarem, et Hubert Vialatte, intitulé « Valeur travail : l’affaire de tous » (disponible ici), une table ronde a permis d’aborder plusieurs thèmes comme le télétravail, la semaine de 4 jours, ou encore la productivité et la flexibilité des collaborateurs… Des débats animés par Sarah Nguyen Cao Khuong (Agencehv) ayant réuni Matthieu Ourliac, Jean-François Lascoux, DG de Dale Carnegie Sud-Ouest, Emmanuel Lelièvre, président du Medef Lot et gérant de quatre magasins Centrakor, Romain Planès, DG de Caminarem, et Michel Roy, président des Prud’hommes de Béziers.    

Le télétravail, un argument de recrutement. De nombreux candidats demandent le télétravail dans leur fiche de poste. Au point de bouleverser les recrutements. « Le télétravail est un argument en tant que recruteur mais pas en tant qu’entrepreneur », exprime Romain Planès, DG du groupe Caminarem, qui rappelle que le télétravail doit s’appliquer comme « une forme de souplesse et non comme un droit acquis ».

« Au final c’est l’engagement qui compte. » Jean-François Lascoux souligne ce « besoin d’indépendance et en même temps de cohésion » que cherchent les nouveaux collaborateurs. À chaque structure de s’adapter, car « au final c’est l’engagement pour l’entreprise qui compte ». Cette nouvelle génération de travailleurs « voit la société et le travail autrement et leur comportement va devenir la norme. Il faut réfléchir ensemble à un avenir et non se confronter », conclut-il.   

 

Sarah Nguyen Cao Khuong et Matthieu Ourliac ©Agencehv

 

Quel cadre pour le télétravail ? Comme le rappelle Michel Roy, le télétravail n’est pas un droit. Cela implique que ni l’employeur ni le salarié ne peut l’exiger à l’autre. Cette pratique est encore peu encadrée par la loi (malgré les avancées de la réforme du code du travail en 2017, note). Ce sont donc aux deux parties de réfléchir à un accord commun pour éviter des conflits juridiques encore peu présents à l’heure actuelle. « À nous d’être intelligents pour rédiger un contrat à la fois productif mais acceptable pour le collaborateur ». 

« Valeur travail, l’affaire de tous » se lit à plage. Matthieu Ourliac revient sur les raisons qui l’ont poussé à écrire ce manifeste. Parti du constat que certaines personnes « ne veulent plus travailler » et convaincu que le travail est « nécessaire à notre vie et démocratie », il espère soulever le plus de questions possibles avec cet ouvrage, dans le but de « pousser chacun à s’interroger sur la valeur travail ». Ce livre rédigé de manière journalistique « se lit à la plage », sourit-il.  

L’armée au rendez-vous. Un partenariat a été signé entre un représentant de l’armée, le colonel Soreau, l’entreprise Instadrone fondée par Cédric Botella et le groupe Caminarem, dirigé par Matthieu Ourliac et Romain Planès. Ce partenariat concrétise un soutien mutuel entre l’armée et ces entreprises. Ces dernières vont apporter des actions d’emploi avec du soutien aux blessés et des opportunités de reconversion. En retour, l’armée, ayant un besoin croissant de réservistes, accueille les employés et supporte également l’activité de ces entreprises.  

Tienta. Une parenthèse tauromachie a pris place dans les arènes de la manade, avec une tienta (essai dans le monde de la tauromachie), menée par Christian Parejo, guidé par l’ancien torero biterrois Tomas Cerqueira.   

 

©Agencehv

 

Inspection des canalisations à Béziers par des drones. Une démonstration de drone a permis à Instadrone, PME héraultaise spécialisée dans les services par drones pour les entreprises, basée à Servian (40 salariés) et premier réseau de service français par drones, de remuer le sable des arènes de la Manade Margé, et de rappeler ses projets. Comme l’inspection des canalisations à Béziers. « Nos drones subaquatiques peuvent aller jusque 300 mètres de profondeur. Le drone, quasi-automatique, est simplement piloté par une personne pour contrôler le plan de vol », explique Cédric Botella.  
Autre projet à venir, la livraison par drone de produits médicaux en lien avec les laboratoires montpelliérains Inovie. « Ce sera en test à partir de septembre, pour livrer jusque la clinique Saint-Jean (Saint-Jean-de-Védas) », rappelle Cédric Botella, fondateur d’Instadrone (plus à lire sur Midi Libre et Les Échos). Il s’agira de la première société à faire voler des drones pour des livraisons sur 3 km. « Un pilote sera prévu lors de ces tests, avec un objectif d’automatisation complète ensuite. Nos drones peuvent aller jusqu’à 140 km/h, et la ligne aérienne sélectionnée est très réglementée », ajoute-t-il, en précisant qu’Instadrone souhaite ici anticiper un besoin croissant. En cas d’urgence, des zones d’atterrissage sont prévues, ainsi qu’un parachute si jamais le drone dévie de la ligne aérienne définie. Les automobilistes, piétons, cyclistes et oiseaux n’ont donc pas à s’inquiéter : tout est sous contrôle !  

Le déploiement des drones bloqués par des idéologies ? Instadrone élabore également des drones munis de capteurs destinés à l’agriculture de précision, « qui permettent de pulvériser en biodynamie », explique Cédric Botella. La pulvérisation est concentrée sur deux mètres au-dessus des plantations. « Nous ne sommes pas encore autorisés à faire du traitement phytosanitaire. Nous sommes bloqués par des idéologies. Alors que nous pouvons être très précis », indique-t-il. Les drones ont une capacité de 20 litres/kg, avec un radar capable de modéliser la vigne et repérer les zones de pulvérisation. Plus à relire dans Les Échos « Instadrone étend le rayon d’action de ses drones pour les entreprises » (août 2022).   

 

©Agencehv 

 Drone pour les militaires. « Nous réfléchissons à développer des porteurs capables d’embarquer une dizaine de petits drones, pour répondre aux besoins des militaires, explique Cédric Botella. Il faut que nous dotions le territoire de solutions françaises, mais nous manquons de soutien. Le modèle Tundra 2, de la société Hexadrone (Haute-Loire), dévoilé à Saint-Etienne en avril, a été félicité, mais il n’y a toujours pas de commande publique », regrette-t-il. Pourquoi ? « Nous sommes une filière encore jeune, peu crédible. »  

“Pimper” les drones chinois. « Ça nous embête de le dire, mais les chinois sont les plus forts en matière de drones. Le constructeur chinois de drones DJI possède 80 % du parc de drone dans le monde. C’est un bon constructeur, car les ingénieurs coûtent moins cher que chez nous, mais ils s’y prennent mal sur le plan opérationnel. Notre rôle est donc de les améliorer, de les “pimper” (apporter une touche personnelle à un objet afin de le rendre recherché, unique, note) », explique Cédric Botella. Instadrone embauche 40 personnes, et 7 alternants, dans des locaux de 200 m2 à Servian. 

Passera-t-il le manifeste à Manu ? ©DR

Plus tôt dans la journée, Jean Castex, ex-Premier ministre, aujourd’hui président de la Fondation Face et PDG de la RATP, s’est vu remettre le manifeste sur la valeur travail, des mains de Matthieu Ourliac. On le voit ici aux côtés de Hugues Moutouh (à droite), préfet de l’Hérault, au restaurant La Raffinerie (Béziers), donné par Face Hérault.  

3 questions à

3 questions à

Florence Lambert, Genvia

« La gigafactory ne sera pas un bunker industriel »

Méthodes et rituels de gouvernance, organisation de l’usine, projets…. Agencehv s’est entretenue avec Florence Lambert, PDG de Genvia (électrolyseurs haute température pour la production d’hydrogène décarboné) et dirigeante de 120 personnes, réparties entre Grenoble (centre de transfert technologique) et du site industriel de Béziers, en passe de devenir une gigafactory. « Trois questions à … », la rubrique où le tutoiement est de rigueur.

Florence, comment Genvia attire-t-il les talents ?
Nous essayons de traduire la vraie proximité qu’il y a dans nos équipes, et faire preuve de transparence durant les entretiens. Selon moi, ce qui permettra à l’entreprise de se développer est cette transparence d’échange. Travailler pour Genvia c’est aussi ‘travailler et sauver la planète’, comme le soulignent certains de mes collaborateurs venus d’autres régions pour travailler chez nous.
Nous échangeons et travaillons également avec l’écosystème biterrois, comme ITS Fusion, réseau d’entreprises industrielles, qui font partie de nos sous-traitants, ou encore avec le pôle compétences d’Eden (Écosystème Durable et Énergies Naturelles), réunissant acteurs de la formation, collectivités, secteur économique et l’État, pour favoriser le développement de la filière hydrogène dans l’Ouest héraultais.
Deux formations ont par ailleurs été lancées dans ce cadre (Bac Pro et DUT dans le énergies renouvelables). Genvia joue le jeu en embauchant entre 10 et 15 apprentis chaque année, formés à l’école dans l’écosystème biterrois.

La ligne de production d’électrolyseurs, inaugurée le 8 juin, est située dans l’usine Cameron (Schlumberger), à Béziers. Genvia va porter à terme, dans le secteur, une gigafactory. Comment imagines-tu cette usine de demain ?
Nous voulons transformer l’usine, et l‘imaginer de manière moins traditionnelle. Notre gigafactory ne sera donc pas un bunker industriel. Avec Luc Mas, directeur général de Cameron-Schlumberger, nous voudrions organiser un carrefour de rencontres, pour avoir une certaine flexibilité, même si nous nous trouverons dans un cadre industriel. En offrant des services de proximité par exemple, comme se faire livrer ses légumes, bénéficier d’un service de récupération de colis, etc. Nous réfléchissons aussi à faire venir des conférenciers, ou organiser des expositions d’art avec des artistes locaux, pour que l’usine offre autre chose qu’un lieu de travail. Cette organisation devrait être opérationnelle dès 2024.

Avec Genvia, 70 emplois directs seront créés d’ici à 2025, et 250 autres d’ici à 2032. Comment manages-tu tes équipes, et comment penses-tu les manager à l’avenir ?
Nous partageons de nombreux moments d’équipe. Nous revenons de deux jours en juin où nous étions, avec nos 120 collaborateurs, dans la Drôme. L’occasion de partager des moments d’échanges avec l’ensemble de l’équipe, de poser les jalons de l’année et d’aborder les problématiques passées et à venir. Nous en avons profité aussi pour faire la fête, car c’est important d’avoir des moments de récompenses collectives de l’équipe !
Côté management, je fais de plus en plus confiance à mes intuitions et reste à l’écoute de mes collaborateurs. J’ai souvent un 6e sens pour détecter qui va bien ou qui peut être en difficulté, notamment en observant le langage corporel, qui indique beaucoup de choses. J’ai aussi un petit rituel : quand je reviens de quelques jours de déplacement, je vais toujours déjeuner à notre cafétéria, avec tout le monde. Ce moment-là d’échange, où chacun a à cœur de m’expliquer ce qui s’est passé pendant mon absence, et où les questions fusent, me fait d’ailleurs repartir galvanisée et rechargée.

Propos recueillis dans le cadre de la préparation de l’événement Talents d’Occitanie (Région Occitanie), programmé en octobre.
Plus à (re)lire sur Genvia dans ToulÉco « Hydrogène vert : Genvia inaugure sa ligne pilote à Béziers » (juin 2023). 

La HV Touch

La HV Touch

Conseil RP

Le Club de la Presse du Gard lance l’appel à candidatures pour les trophées de la presse et de la communication du Gard 2023. Catégories : presse écrite, vidéo/audio ou photo pour les journalistes et la catégorie audiovisuel ou évènement pour les communicants. Les critères d’éligibilité et de sélection sont détaillés en cliquant sur le lienRemise des prix prévue le 22 septembre lors de la Nuit de la Presse avec en supplément, la remise d’un trophée Coup de CœurUn trophée et 500€ de chèques cadeaux seront offerts aux gagnantsLes candidatures sont ouvertes jusqu’au 25 août sur le formulaire d’inscription, ici 

La phrase

« Je vais le lire. » 

On le croit sur parole. Jean Castex, ex-Premier ministre, président de la RATP et de Fondation Face, le 12 juillet à Béziers, lors de la remise en mains propres du manifeste « Valeur travail : l’affaire de tous ».  
Ce manifeste est une série d’entretiens autour de la valeur travail, menée entre février et mai 2023 avec Matthieu Ourliac, président du Medef Béziers.  
Acheter le manifeste en cliquant ici  

On s’en fout

L’art de l’hyper-fractionné dans le travail nomade. Ce 10 juillet, bouclage épique des Indiscrétions, à Lyon, dans cinq endroits différents. Chaque station a duré environ 1h30. Première étape, le matin dans la chambre d’hôtel. Dont je suis chassé, comble de malchance, dès 9h30 par les femmes de ménage.  
Deuxième séquence dans le bar de quartier, que je dois quitter à 11h45, car les serveurs dressent les tables.  
Direction une enseigne ‘Subway’, plutôt accueillante et confortable. De loin le meilleur moment du périple, dans une cathédrale de plastique vert et jaune. Mon programme m’oblige à me rapprocher du centre commercial de la gare Part-Dieu. Un lieu a priori idéal pour travailler en nomade… sauf que la connexion Internet y est plus que chaotique et les prises électriques trop rares. Mon téléphone et mon ordinateur se déchargent à vue d’œil.  

Je me transfère en catastrophe dans le hall d’un immeuble de bureaux glauquissime des années 70, érigé sur une dalle de béton, dans un décor digne d’un film de Bertrand Blier. Je prends place à même le sol. Mais le partage de connexion fonctionne et les prises abondantes. Le bonheur tient parfois à un fil.  

On ne se refait pas. Partir quinze jours loin de chez soi permet de développer de nouvelles compétences.  

ca pousse les indiscretions

Ça pousse

Ça pousse

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Ils et Elles bâtissent nos villes

Immobilier : pourquoi le breton Giboire s’implante à Montpellier

On pourrait croire que ce n’est pas le moment pour ouvrir une nouvelle agence de promotion immobilière, vu le contexte. Pour le groupe centenaire Giboire, l’un des plus anciens d’Europe dans le secteur, c’est au contraire le moment de tisser sa toile. Il implante ainsi un bureau à Montpellier, comme révélé dans Les Indiscrétions du 12 juin.

Diversification au bon moment
Freiné par la conjoncture, comme ses confrères, Giboire voit son activité divisée par deux au cours du premier semestre. La diversification, impulsée tous azimuts (filiale de coworking, syndic de copropriété, activité d’hôtellerie), « permet de passer ces moments difficiles plus sereinement », glisse Olivier Biancarelli. C’est le moment pour nous d’arriver avec nos caractéristiques dans des régions qui peuvent être sources d’opportunité. » Dont le littoral d’Occitanie, avec une agence à Montpellier, dirigée par Philippe Bource (ex-Crédit Agricole Immobilier), et dépendant de la direction régionale basée à Marseille (directeur : Philippe Ranc). L’une des méthodes commerciales de Giboire : le respect de la parole donnée vis-à-vis des propriétaires fonciers. « Certains renégocient systématiquement, avec des conditions suspensives qui coincent le propriétaire dans la relation. Nous souhaitons rester clairs sur nos positions. » De solides références en matière de requalification urbaine, comme la transformation de la Tour Bretagne à Nantes, peuvent être un atout, par exemple en vue de la Zac Pagézy à Montpellier.

« Appétence de Montpellier pour l’architecture »
Giboire s’implante sur un marché déjà très concurrentiel. « Mais l’ex Languedoc-Roussillon a une dynamique démographique et économique, explique Olivier Biancarelli. Les grands élus, comme Michaël Delafosse, ont une appétence pour l’architecture. Nous venons pour travailler intelligemment avec les particuliers, les collectivités, et pourquoi pas des confrères. Nous connaissons par exemple bien la direction de GGL. Giboire n’a pas d’objectif chiffré à Montpellier, mais s’inscrit dans la durée, pour la réalisation de logements, bureaux, espaces de coworking nouvelle génération sous notre marque Le Pod, hôtels…Le but, c’est de sortir des projets qui font sens, de grande qualité architecturale. Le concours des Folies Architecturales du 21e siècle nous intéresse. Nous regardons aussi les marchés de report, comme Béziers ou Nîmes, qui se sont développés. »
Philippe Bource a été choisi pour « sa très bonne connaissance du marché immobilier régional. Il est lui-même architecte, conclut François Giboire. C’est important, car Montpellier est loin de Rennes, le siège social. Les équipes sur place doivent donc être nos yeux et nos oreilles, nous devons être en phase avec les produits à développer, que nous voulons non standardisés. »
Implanté depuis 2017 en Ile-de-France, Giboire couvre l’ensemble de la chaîne de valeur de l’immobilier : promotion immobilière et aménagement foncier, transaction en habitation, gestion locative, immobilier d’entreprise et commerces, conseil en investissement patrimonial et syndic de copropriété.

Haut niveau de fonds propres
Giboire réalise un CA de 220 M€ pour 270 collaborateurs, compte 350 M€ de fonds propres, plus de 130.000 m2 d’actifs et 6.000 lots en gestion immobilière privée dans le Grand Ouest. « Nous bénéficions de la sagesse des générations passées, explique François Giboire (4e génération), co-dirigeant aux côtés d’Olivier Biancarelli. Le niveau de fonds propres est équivalent à celui d’une entreprise 5 ou 6 fois plus grandes. Cela permet d’être assez indépendant des financements bancaires, et d’amortir les chocs mieux que les autres. Giboire est très bien implanté dans l’ouest de la France. Nous souhaitons en faire un groupe d’envergure nationale. »

Le promoteur se caractérise par « le sens de la qualité et des finitions. Notre taille est amenée à se développer, mais nous n’avons pas d’urgence », précise François Giboire. L’activité se répartit entre produits tertiaires (50 %), immobilier (700 à 800 logements par an, avec une proportion significative de propriétaires occupants) et aménagement.
Pour l’anecdote, Olivier Biancarelli est originaire de Montpellier. Ex-sous-préfet et préfet, ex-conseiller du président de la République Nicolas Sarkozy (relations avec les élus territoriaux et le Parlement), et ex-DG adjoint d’Engie, il connaît bien Hugues Moutouh, actuel préfet de l’Hérault (et lui aussi ex-collaborateur de Sarkozy), en partance pour Nice d’après Midi Libre.

> Infos complémentaires et références dans le dossier de presse accessible en cliquant ici

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Montpellier : une résidence intergénérationnelle à la place de la Tour d’Assas

Dans le cadre du programme de rénovation urbaine du quartier de La Mosson (Montpellier), les travaux de déconstruction de la tour d’Assas, symbole du quartier, sont lancés le 10 juillet avec la démolition des escaliers et l’accès au sous-sol de la tour, annonce Montpellier Méditerranée Métropole dans un communiqué. Cédé par Altémed à La Cité Jardins, opérateur d’Action Logement spécialisé dans les logements sociaux spécifiques jeunes, seniors et handicap, le terrain accueillera une « résidence multigénérationnelle de 72 logements à destination des jeunes actifs et seniors, ainsi que trois commerces, pour une livraison prévue en 2025 », précise sur LinkedIn La Cité Jardins. À ce jour, ce type de programme n’existe pas dans le quartier de La Mosson.

« Ce quartier est en proie depuis deux décennies à une spirale de dépréciation », déclare Michaël Delafosse, président de Montpellier Méditerranée Métropole et maire PS de Montpellier. En parallèle de la démolition de la tour pour accueillir la résidence intergénérationnelle, le projet urbain de La Mosson prévoit « la réhabilitation du centre nautique Neptune (2023-2025), la requalification de l’ex-station service pour accueillir des commerces (2024), et la démolition de l’arche Mercure ».
500 M€ seront investis dans les projets de renouvellement urbain des quartiers Mosson et Cévennes.

Action Logement est aussi actif, entre autres, à Montpellier dans le logement des saisonniers. À (re)lire dans Les Échos « Saisonniers : sur le littoral occitan, Action Logement ouvre sa boîte à outils » (mai 2023).

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Roch Plaza : un bâtiment de 5.000 m2, futur totem du quartier Saint-Roch à Montpellier

Jeudi 13 juillet, Sébastien Picard, directeur général d’Idec Grand Sud et Nordine El Ouachmi, président de la French Méditerranée et fondateur de Burostation, posent la première pierre du bâtiment Roch Plaza, aux côtés de Michaël Delafosse, maire de Montpellier et président de Montpellier Méditerranée Métropole, et Philippe Rubio, architecte de l’opération. Ce futur bâtiment totem de 5.000 m2, situé à l’entrée de la Zac de la Gare Saint-Roch à Montpellier, abritera un espace de co-working de Bureaux&Co.

De gauche à droite, Sébastien Picard, président d’Idec Grand Sud, Nordine El Ouachmi, président de BuroStation, Philippe Rubio, architecte, Alexia Barrier, navigatrice, Michaël Delafosse, maire de Montpellier et Lionel Mary, groupe Idec Invest) ©Agencehv/Sarah Nguyen Cao Khuong

Bureaux privatifs, espaces de coworking, salles de réunions équipées, services de domiciliation… Le bâtiment sera construit à l’échelle du piéton, mixera les usages, et se déploiera en R+6 côté rue et en R+8 du côté des voies SNCF. « Ce projet s’affiche parmi les plus ambitieux développés par nos équipes depuis notre création, de par sa taille, l’offre de services qui sera proposée aux futurs usagers et sa localisation de premier plan, explique Nordine El Ouachmi. La concrétisation de ce projet est un moment spécial pour nous. Bureaux&Co s’inscrit ainsi dans le paysage montpelliérain, ce qui traduit le chemin parcouru depuis 2015, avec nos premiers locaux à la Paillade », rappelle-t-il.

Roch Plaza proposera également un service de restauration avec un bar au rez-de-chaussée, des espaces détente, une salle de sport, un service de réparation de vélos, une messagerie urbaine avec click & collect, ainsi qu’un rooftop privatif. « Sur les 5 000 m² de superficie développée, 2 500 m² seront dédiés à des plateaux de bureaux, disponibles à travers des offres de location classiques », indique Lionel Mary, directeur général du groupe Idec Invest, dans un communiqué.

« Ici commence le centre-ville de Montpellier, il n’y a pas que l’Écusson, insiste Michaël Delafosse. Nous ne voulons pas faire de cette Zac un nouveau Millénaire (zone d’activités et de bureaux au sud de la métropole, où les services et les transports font défaut, note). Ici les collaborateurs se rencontreront, créeront du lien, et c’est ce que porte la ville en termes de développement économique. » Le maire a déjà noté la date du 13 juillet 2024, pour la cérémonie d’inauguration, et la coupe du ruban. « Ça ne met pas trop la pression, ça va ! », ironisent Sébastien Picard et Nordine El Ouachmi.  Nous évoquions ce projet Idec / Bureaux&Co dès le 23 janvier. À lire en cliquant ici

Était également présente Alexia Barrier, navigatrice et skippeuse professionnelle, qui participera au Trophée Jules Verne, tour du monde à la voile, sans escale ni assistance, en 2025. Elle sera accompagnée d’un équipage de 7 navigatrices internationales, sur le maxi-trimaran Idec Sport.

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Lot I de la Zac République à Montpellier : réactions du vainqueur et du vaincu 

Comme révélé dans Les Indiscrétions du 10 juillet, Terres du Soleil (TDS) Promotion et Les Nouveaux Constructeurs remportent en copromotion le lot I de la Zac République de Montpellier, à l’issue d’une consultation portée par le Groupe Serm/SA3M, Altémed et la Métropole de Montpellier. Un concours qui fait réagir et le vainqueur et le perdant, via les réseaux sociaux.
« La victoire est d’autant plus appréciable que le combat a été acharné avec nos confrères finalistes », déclare sportivement Jean-Loup Pierrot, directeur d’agence chez TDS Promotion.
Le projet « complètera le quartier Port Marianne par une programmation mixant commerces, bureaux réversibles, galerie d’art et logements. De nombreuses césures et failles favoriseront son insertion, en lien avec la future Folie architecturale ‘Les Galets’ ».
La qualité d’habiter et le confort d’été seront au cœur du projet, « avec plus de 85 % de logements traversants et des espaces extérieurs très généreux ». Certifications visées : RE2020 seuil 2025, Effinature, BDO, BREEAM Very Good et Wired Score.
Le projet lauréat offrira une place à la culture et à l’art, en y dédiant deux lieux : une salle d’exposition et un espace de diffusion des pratiques artistiques. Architectes : Archikubik, Farshid Moussavi Architecture et Samantha Dugay.

Plus à lire sur LinkedIn en cliquant ici

Réaction de Rémy de Lecubarri, directeur de Corim, perdant de la consultation aux côtés de Vestia : « Nul n’est prophète en son pays. Il y a des défaites qui font plus mal que d’autres. » Il félicite son équipe, fait le choix de publier le programme finaliste « pour que chacun se fasse son propre avis », avant de conclure : « On travaillera sur d’autres projets ensemble, mais ailleurs. » Plus à lire sur LinkedIn en cliquant ici

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Nîmes : un musée Claude Viallat d’ici 2026 

Un musée consacré au peintre contemporain Claude Viallat prendra prochainement place dans la capitale gardoise. Ancien enseignant et directeur à l’école des beaux-arts de Nîmes, Claude Viallat, natif de Nîmes et âgé de 87 ans, « est une figure de la ville de Nîmes », explique aux Indiscrétions Sophie Roulle, adjointe déléguée à la culture. « Le projet de musée, estimé à 4 M€, consiste en la réhabilitation de la chapelle Saint-Joseph de Nîmes et ouvrira idéalement début 2026 », juste avant les élections municipales, confie-t-elle.
« Pour la conception des fondations et de la scénographie, la Ville a fait appel à l’architecte et designer Jean-Michel Wilmotte (Wilmotte & Associés). Concernant la maîtrise d’œuvre, un appel d’offres va être lancé prochainement pour trouver un architecte du patrimoine », poursuit Sophie Roulle. Question financement, « rien n’est encore fixé. Nous en avons parlé à la Drac Occitanie, au Département du Gard et à la Région Occitanie, auxquels nous demanderons les subventions une fois le maître d’œuvre et le coût des rénovations précisés », déclare-t-elle.

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Pyrénées-Orientales : le site de la Pleta devrait accueillir 70 chalets

 

Situé à l’est de Font-Romeu (66), le site de la Pleta, vaste de 4,8 ha, devrait accueillir 70 chalets (dont 10 à coûts maîtrisés), un espace d’équipements mutualisés de 250 m² et des espaces publics, lit-on dans le dossier de présentation du projet sur le site de la mairie de Font-Romeu. Une enquête publique est en cours jusqu’au 24 juillet. Porté par la Sarl La Pleta de Font-Romeu avec l’appui de l’agence d’architecture GAU, le projet prévoit « l’intégration des constructions au relief et au paysage, l’utilisation de matériaux locaux (bois, lauzes, pierre) : la limitation de la surface de plancher totale (10.000 m²) et de la hauteur des constructions (10,5 m) ; la végétalisation du site… ». Un projet d’aménagement avait été lancé en 1993 ambitionnant la construction de 325 logements. Il a finalement été abandonné sur fond de crise économique, laissant une friche bétonnée de 1,8 hectares, précisent nos confrères de L’Indépendant (13 juillet).

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Au marché

Au marché
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Les marchés publics essentiels en Occitanie de la semaine passée. Parce qu’il faut bien vivre.

APPELS D’OFFRES

BTP 👷‍♀

Occitanie Est 

Le Conseil départemental de l’Hérault lance un avis pour la réalisation des jardins de la Méditerranée au domaine départemental de Bayssan à Béziers.  

L’Inserm DR Occitanie Méditerranée lance un avis pour l’extension et la rénovation du Centre de Biologie Structurale.  

La SA3M lance un avis pour les travaux d’aménagements de deux nouvelles aires de jeux de l’Esplanade à Montpellier. 

Le Grand Narbonne lance un avis pour des travaux urgents d’extension, raccordement, et réhabilitation de réseaux d’eau ainsi que des travaux de branchements et réparation de fuite.  

La commune de Sauvian lance un avis pour la construction d’un bâtiment périscolaire annexé à l’école maternelle de la ville de Sauvian.  

La commune de Lunel lance un avis pour des travaux d’aménagement des espaces publics et d’une zone piétonne en cœur de ville.  

Viaterra lance un avis pour la réhabilitation d’un ensemble d’immeubles, impasse de la Notairie à Béziers.  

La Communauté d’agglomération Béziers Méditerranée lance un avis pour la construction du théâtre de verdure à Béziers.  

Voies Navigables de France lance un avis pour des travaux de rénovation énergétique des bureaux et d’un logement (isolation et pompe à chaleur).  

La SA3M lance un avis pour la réalisation du pôle éducatif des Halles de la Mosson.  

Occitanie Ouest 

Themelia lance un avis pour la réhabilitation et la restructuration du marché couvert en maison de santé pluridisciplinaire à Puylaurens (81700).  

Grand Sud Tarn-et-Garonne lance un avis pour la création d’un nouveau tronçon de voirie sur la Zac Grand Sud Logistique. 

Le SDIS 65 lance un avis pour le remplacement des menuiseries extérieures et la réfection du parement bois des façades du bâtiment administratif du centre d’incendie et de secours de Lannemezan. 

Oppidea lance un avis pour la déconstruction et le désamiantage des bâtiments du site de Francazal sur la commune de Cugnaux.  

La Ville de Tarbes lance un avis pour la réhabilitation thermique et le réaménagement des locaux de la salle de spectacle du Pari.  

Le Conseil départemental de l’Aveyron lance un avis pour des travaux de scellement de fissures par pontage sur le réseau routier départemental.  

Collectivités 👥

Occitanie Ouest 

La Communauté d’agglomération du Sicoval lance un avis pour une mission d’accompagnement au renouvellement de la convention territoriale globale et du projet social de territoire.  

Communication 📣

Occitanie Ouest 

L’Agence Régionale Energie Climat d’Occitanie lance un avis pour des prestations de conseil, stratégie et création, pour la communication et le marketing du dispositif Rénov’Occitanie.  

Eau / Assainissement 💧

Occitanie Est 

La Communauté de communes Vallée de l’Hérault lance un avis pour des travaux de renouvellement et d’extension de réseaux d’eau potable et d’assainissement.  

Le Centre Hospitalier Alès-Cévennes lance un avis pour maintenance des réseaux et installations d’eaux usées, d’eaux vannes, bacs à graisse, d’eaux pluviales et bassins d’eau potable des établissements du Ght Gard Cévennes Camargue.  

L’EPTB Vistre Vistrenque lance un avis pour la réduction de la vulnérabilité des entreprises face au risque inondation dans le cadre du PAPI3 Vistre.  

Occitanie Ouest 

La Communauté d’agglomération Tarbes Lourdes Pyrénées lance un avis pour l’exploitation et la surveillance des ouvrages d’assainissement.  

La Communauté d’agglomération du Grand Cahors lance un avis pour la fourniture de réactifs pour les stations d’épuration du Grand Cahors.  

La Communauté d’agglomération Tarbes Lourdes Pyrénées lance un avis pour les travaux de réparation sur les réseaux d’eau potable en journées ouvrées.  

Éclairage public 💡
Énergie ⚡
Santé 🩺

Occitanie Est

Le Centre Hospitalier de Bagnols-sur-Cèze lance un avis pour la construction d’un 3e scanner.

Tourisme 📷
Urbanisme 🏙️️

Occitanie Est 

La Ville de Pézenas lance un avis pour la requalification de la traversée urbaine, Avenue de Verdun.  

ATTRIBUTIONS DE MARCHÉ

La commune de Toulouse attribue la réalisation du magazine d’information municipal à Midimédia, Mediameeting. Valeur totale du marché : 308 000 euros.

L’EPCC Pont du Gard attribue le conseil en stratégie de communication, l’accompagnement opérationnel, la création et exécution graphique d’outils et de campagnes de communication à MGT Quidam. Valeur totale du marché : 1 500 000 euros.

La Grand Narbonne attribue la fourniture de matériel destiné au fonctionnement de la collecte des ordures ménagères et au tri sélectif à FM Développement, Compoeco, Association Emeraude… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale des lots : 620 000 euros.

La SPL ARAC Occitanie attribue la mise en accessibilité des lycées de la Région Occitanie à Sogea Sud Bâtiment, Sarl Atelier Ducrot. Valeur totale des lots : 5 430 442,08 euros.

La commune de Toulouse attribue la restauration de l’église Saint Pierre des Chartreux au Groupement Lettelier Architectes. Valeur totale du marché : 168 911 euros.

La commune de Toulouse attribue la mise en accessibilité de l’Institut Supérieur des Arts et du Design de Toulouse à Virginie Lugol Architectes, Betem, Sigma… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale du marché : 141 025 euros.

Le Syndicat Mixte Hérault Transport attribue le transport public routier de voyageurs de l’Hérault à Cars Méditerranée Montpellier, Autocars Jaoul, Autocars Theron… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale du marché : 203 161 453, 32 euros.

La SPL ARAC Occitanie attribue la mise en accessibilité et restructuration des sites de la Région Occitanie à Tognella Architectes, Atelier Garrabé, Awa Architectes… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale du marché : 16 000 000 euros.

La communauté de communes du Grand Pic Saint Loup attribue la construction des ouvrages de production, pompage, stockage, transfert et raccordement des eaux issues du champ captant du Redonel à BRL Ingénierie, Atelier PFS Architectes. Valeur totale du marché : 409 925 euros.

Plus de marchés ici

Le Département des Pyrénées-Orientales attribue les inspections détaillées ou initiales des ouvrages d’art sur le réseau routier départemental des Pyrénées-Orientales à Bureau Alpes Contrôles. Valeur totale du marché : 200 000 euros.

Le GHT Cévennes-Gard-Camargue attribue le marché global sectoriel de conception/construction pour le nouveau bâtiment d’endoscopie et de chirurgie ambulatoire à Eiffage Construction. Valeur totale du marché : 17 174 260 euros.

La DIR Sud-Ouest attribue la maintenance des stations de relèvement des eaux à SARL 2NRT-Pompes Environnement. Valeur totale du marché : 760 000 euros.

La Ville de Montpellier attribue la gestion et l’exploitation de la crèche municipale Henri Salvador à La Maison Bleue. Valeur totale du marché : 7 600 944 euros.

Toulouse Métropole attribue l’extension et la restructuration du groupe scolaire de la commune de Mons à Gallart Bati-Comminges, France Charpentes, Ronco Menuiserie… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale des lots : 1 381 047,53 euros.

La Commune de Villefranche de Rouergue attribue l’exploitation des ouvrages d’assainissement à Suez Eau France SAS. Valeur totale du marché : 2 548 776,12 euros.

Sète Agglopole Méditerranée attribue l’aménagement de la place Aristide Briand, et la requalification des rues du 8 mai 1945, du 11 Novembre 1918, du Général Charles de Gaulle et Gabriel Péri à la SPL du Bassin de Thau. Valeur totale du marché : 289 743 euros.

La Société de la Mobilité de l’Agglomération Toulousaine attribue l’assistance à maitrise d’ouvrage pour la gestion des déblais pour le métro ligne C à Trace Ingénierie Environnement, Trace Digital Processing. Valeur totale du marché : 584 660 euros.

La commune de Toulouse attribue la réhabilitation de l’ancienne école Paul Bert pour la création d’un pôle d’activité à Ar357 Atelier d’Architecture et d’Urbanisme, SAS PM20, Sigma Acoustique… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale du marché : 194 611 euros.

La Communauté d’agglomération Béziers Méditerranée attribue les travaux de réhabilitation et pompage/évacuation du bassin lixiviats Nord de l’ISDND de Saint-Jean de Libron à Suez Eau France, BUEASA. Valeur totale du marché : 420 253 euros.

La Société de la Mobilité de l’Agglomération Toulousaine attribue les contrôles extérieurs environnement et déblais des travaux de génie civil de la 3ème ligne de métro à Apave Exploitation. Valeur totale du marché : 1 085 039,15 euros.

La Société de la Mobilité de l’Agglomération Toulousaine attribue l’assistance à maitrise d’ouvrage Haute Qualité Environnementale infrastructure durable à Syola Conseil, Terao. Valeur totale du marché : 191 850 euros.

Nîmes Métropole attribue les travaux complémentaires de réduction de la vulnérabilité des sites AEP à SAUR, Veolia Eau. Valeur totale du marché : 609 563 euros.

La Ville de Nîmes attribue les prestations de nettoyage, décrassage, désherbage, et désinfection sanitaire des arènes de Nîmes à SAS Ocean. Valeur totale du marché : 180 000 euros.

La commune de Toulouse attribue les travaux de rénovation de traitement d’air, ECS et chaufferies des 4 sites de la ville de Toulouse à Spie Building Solution, Techniclimatic… Tous les titulaires sont à consulter ici. Valeur totale des lots : 1 060 680,14 euros.

Agenda Les Indiscretions

L'agenda

L’agenda

SEPTEMBRE

Lundi 4 septembre : 

Rendez-vous Via Innova pour son deuxième appel à candidatures TTM Factory à Via Innova (Lunel). Inscription ici.

Mercredi 6 septembre : 

3e Club des Entrepreneurs MedVallée sur le thème « L’IA, plus qu’un outil poiur la santé ? », coorganisé par MedVallée Montpellier et la Banque Populaire du Sud au Château de Flaugergues (Montpellier). Inscription ici.

Vendredi 8 septembre :

Lab Littoral « Produire les énergies pour les territoires de demain », coorganisé par le Groupe La Dépêche/Midi Libre et Eolymar à L’Abbaye de Gaussan (11). Inscription gratuite et obligatoire avant le 27 août en cliquant ici.

Mardi 12 septembre :

REF Top Économique Occitanie sur le thème « Les relations au travail », organisé par le Medef Haute-Garonne à Toulouse, au coeur du village de la Coupe du Monde de Rugby 2023. Plus d’infos ici, et inscription là.

Rentrée économique de la CCI Gard organisée à l’Écurie Hasta Luego (940 chemin de Florival, Nîmes). Plus d’infos et inscription ici.

Du 14 au 16 septembre :

4ème édition du forum Le Monde Nouveau, dédié à la transition environnementale et sociétale, organisée par l’association Le Monde Nouveau à Planet Ocean Montpellier. Plus d’infos ici.

Jeudi 21 septembre :

Rentrée Solennelle de Montpellier Management (Université de ontpellier) sur le site Richter à Montpellier. Inscription ici.

Du 22 au 24 septembre : 

23ème Salon de l’Immobilier d’Automne, organisé au Parc des expos de Montpellier. Plus d’infos ici.

Du 28 au 30 septembre :

1ères Journées Territoriales, fusion du Salon des Maires et des Collectivités Locales 31 et des Rencontres Territoriales Midi-Pyrénées, se tiendront à Muret (salle Horizon Pyrénées). Plus d’infos et inscription ici.

Plus d'événements ici

OCTOBRE

Jeudi 5 octobre :

Conférence-débat sur le thème « Préparons l’avenir local en mobilisant l’intelligence collective », organisée par la SPL agate et le réseau Créon à l’Université de Nîmes (Site Vauban).

Vendredi 6 et samedi 7 octobre :

Assises Ora Maritima (Assises du territoire de Thau), organisées par le Syndicat mixte du bassin de Thau sur le thème de la culture du risque. Plus d’infos à venir.

Du 18 au 20 octobre :

Congrès international de la RSE, organisé par la fondation Oïkos en collaboration avec Afnor Groupe, à la Cité de la RSE à Toulouse. Plus d’infos ici.

Vendredi 20 octobre :

2e édition d’ACTES – Rencontres actives pour des villes durables et désirables, organisée par la Banque des Territoires à Lézigno (Béziers, 34). Inscritpion ici.

24 et 25 octobre :

Salon du Littoral organisé par L’Agence Midi Libre au Parc des Expositions de Montpellier. Plus d’infos ici.

DÉCEMBRE

5 et 6 décembre :

10ème édition du Congrès National Bâtiment Durable, organisé par Envirobat Occitanie et Effinergie au Corum de Montpellier (34). Plus d’infos et inscription ici.

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Newsroom

Newsroom

L’agence travaille en ce moment sur plein de choses passionnantes :

Journalisme

Pour Les Échos :
La stratégie de la Mutuelle des Motards, qui fête ses 40 ans.
– Médiprix lève 16 millions d’euros.

> Série d’été sur les thèmes : 
« L’influence économique de l’USAP et des Dragons Catalans dans les Pyrénées-Orientales »
« Ces PME centenaires qui ont su se réinventer au fil du temps : l’exemple d’Union Matériaux à Montpellier »
6 sujets sur les projets de mobilité décarbonée dans le Gard : réouverture de la rive droite du Rhône aux voyageurs, création d’une armature de PEM, plan Vélo d’Alès Agglomération, aire de covoiturage sur l’A9 à Nîmes…
La revanche des villes moyennes : le cas d’Alès
Une ville, une statue : Nimeno II à Nîmes
2 papiers sur le manque d’eau

Pour BoisMAG :
– Enquête nationale sur le traitement et la préservation du bois, parution en juillet

Pour Touléco :
– Comment le monde agricole prépare la sécheresse estivale.
– Guide de l’Acheteur Immobilier : Reconstruire la ville sur la ville, des exemples dans l’Hérault et le Gard ; Quelles stratégies pour acheter en 2024 ? Quel marché pour Montpellier en 2024 ? Photographie du marché de la métropole ; Marchés de Perpignan, Nîmes et Béziers.
Le Mag de Touléco : point sur le déménagement de la clinique du Parc à Castelnau-le-Lez avec Olivier Constantin, DG de Clinipole ; La stratégie de Montpellier en matière d’IA (interview de Manu Reynaud) ; une interview longue de Bertin Nahum, président de Quantum Surgical (robotique chirurgicale, Montpellier). 

Rédaction de contenus

Contribution au magazine  » Signature#9″ édité par Profils Systèmes
– Portrait du street-artist Sunra
– Rénovation en profondeur d’une villa dans la Rhône par l’architecte Thibaut Chanut (Dank Architectes)

Rédaction d’un livre sur la valeur travail, pour Matthieu Ourliac (Medef Béziers Littoral Ouest Hérault), parution en juillet

Rédaction d’un Livre Blanc reprenant les temps forts d’un colloque sur les traumatisés crâniens, organisé par la Fondation de la Mutuelle des Motards (président : Alain Borie), qui s’est tenu le 25 mai à Montpellier

Comment la Région Occitanie développe l’avion vert, et pose de la première pierre d’Hyd’Occ à Port-la-Nouvelle, pour la Région Occitanie 

L’œil 2023, pour Arthur Loyd, zoom sur le développement éco dans des villes hors Montpellier : Lunel, Beaucaire, Nîmes, Béziers, cœur d’Hérault…

Animations

7 septembre : REF Montpellier (Medef)

13 septembre : Lab Immo sur l’aménagement du littoral

Voilà, c’est tout pour cette semaine. Courage et chocolat !

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Les dernières Indiscrétions

Foi d’entrepreneur

L’interview-vérité du futur nouveau président de la FFB de l’Hérault (en « Trois questions à  »), une nouvelle rédactrice en chef adjointe au quotidien Midi Libre, Bruno Le Maire en remet une couche sur la valeur travail (« À l’affiche »), problèmes de circulation à PIOM, le Versailles du Languedoc en vente et forum économique e-commerce à Montpellier et Toulouse (« Décodage »), les détails d’un programme sur la Zac République à Montpellier (« Ça pousse »), le Catalan Guasch érige un temple de la transformation de viande (« Zoom »), un conseil RP qui parle de webzines bien utiles pour valoriser vos événements (« HV Touch »).
Courage et chocolat !

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Pour pas louper sa rentrée

Le comité régional du tourisme défend le tourisme populaire, des détails sur le logement abordable à Montpellier, l’appel de Bpifrance aux entreprises innovantes, un nouveau village d’entreprise près de Montpellier (« ça pousse ») et une touche people, avec la fille d’Alexandre Teissier (Marché du Lez) sous les sunlights (« À l’affiche »).
« Pour pas louper sa rentrée », Les Indiscrétions de la semaine du 21 août sont à croquer en cliquant sur l’onglet « Par ici ça croustille ». En haut ou en bas, c’est pareil, tous les chemins y mènent.
Courage et chocolat !

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Le timing est pas mal

La réindustrialisation prend forme à Toulouse ou Béziers (en « Zoom »), les vrais chiffres des journalistes pigistes et le témoignage revigorant d’un stagiaire (en « HV Touch »), Médiprix attire 16 M€ pour digitaliser les pharmacies, Perpignan Méditerranée investit pour soutenir le débit du fleuve la Têt, le retour de l’architecte Farshid Moussavi à Montpellier (en « Décodage »), un nouveau patron des banquiers dans l’Hérault, l’agriculture bio inquiète, Christophe Pérez (ex-Serm-SA3M) met le cap vers Alès (en « À l’affiche »), Uniti Habitat distingué, d’autres coulisses immo en « ça pousse », et plein d’autres palabres urbaines.
Courage et chocolat !

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Il ne lâche rien

Hubert, Montpelliérain depuis 40 ans (avec quelques infidélités londoniennes et parisiennes), est diplômé du Centre de Formation des Journalistes Paris (2001). 

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Signes distinctifs sur sa carte de presse 95598, la quête de clarification et de saine problématisation, dans un monde souvent entravé par les acronymes abscons, la langue de bois, les approximations et les infox. Hubert a été auditeur de la session 2019-2020 du Chede (cycle de hautes études pour le développement économique). Un réseau national constitué de chefs d’entreprise, élus, préfets, hauts fonctionnaires, cadres de collectivités…, précieux. Avant de jouer sa partition, il a fait ses gammes pendant 18 ans (2001-2019) à La Lettre M, média économique régional de référence. Il y a commencé stagiaire, avant d’évoluer au fil des ans jusqu’au poste de rédacteur en chef, contribuant activement au développement du titre à Toulouse entre 2015 et 2018.

Heureusement qu’elle est là

Francilienne, résidant à Montpellier depuis 2018 et diplômée de Sup de Com’ Montpellier (2020), Sarah a rejoint Agencehv en CDI début octobre 2020.

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Ses missions : rédaction d’articles sous l’autorité de Hubert Vialatte, veille média, structuration de la stratégie et de l’organisation, création graphique, mise en page, social media management, mise en ligne et promotion des Indiscrétions. Sarah porte un intérêt au métier de journaliste. Son mémoire de fin d’étude porte ainsi sur le thème « L’impact de l’Intelligence Artificielle sur la presse en ligne et le journalisme ».

Amélie dite « de Cazilhac »

En stage, de mars à septembre 2021, chez Agencehv, Amélie Cazalet poursuit son chemin en alternance en marketing et communication, toujours au sein de l’agence.

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Originaire des Cévennes, plus précisément de Cazilhac (d’où « Amélie de Cazilhac », on trouve que ça sonne bien), elle est actuellement en Master 2 Marketing, Médias et Communication à Montpellier Management (Université de Montpellier).